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Mes couilles putain de FA
Lutèce
Messages : 68
Date d'inscription : 24/08/2015
Lutèce
Admin



Ceci est un titre abominablement long qui nique mon code.
Feat mes partenaires
Restabat ut Caesar post haec properaret accitus et abstergendae causa suspicionis sororem suam, eius uxorem, Constantius ad se tandem desideratam venire multis fictisque blanditiis hortabatur. quae licet ambigeret metuens saepe cruentum, spe tamen quod eum lenire poterit ut germanum profecta, cum Bithyniam introisset, in statione quae Caenos Gallicanos appellatur, absumpta est vi febrium repentina.

T'es qu'un con Patrick.
Fais pas l'con Philippe.

cuius post obitum maritus contemplans cecidisse fiduciam qua se fultum existimabat, anxia cogitatione, quid moliretur haerebat. Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit.
Divine Comedy
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Lutèce @ Divine Comedy




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Lutèce
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The Sound Of Drum.
Feat Divine Crew



La musique des vagues qui s'échouait sur la coque de notre splendide bateau. Je ne me lassais jamais de cette douce mélancolie salée et naturelle. Pourquoi j'étais devenu un pirate ? C'était sûrement une des plus belles raisons. En même temps, qui n'aimait pas cette douce musique, elle était d'une nature si hypnotique, mais également si belle. Mon visage qui se perdait dans l'orifice qu'un reflet éternel provoqué par la houle de l'écume qui se posait délicatement d'une blancheur immaculée sur la peau de notre très chère baleine. Je ne me sentais pas forcément à ma place dans cet endroit, parce que personne ne me connaissait en tant que pirate et je ne me sentais pas comme un pirate. Les quelques personnes qui étaient avec moi étaient les seules personnes qui comprenaient mon intérêt. Je n'avais aucune vocation de devenir l'être le plus puissant en tant que pirate et je n'avais pas l'impression de rechercher le savoir que Siam pouvait rechercher. Mon but, c'était de devenir l'homme le plus riche, le plus influent que cette terre a pu voir un jour marcher sur elle-même. Mon cœur ne s'arrêtait pas de battre, mais j'avais cette impression qu'il ratait un battement à chaque fois devant la splendeur de l'horizon. Mon regard se levait vers l'étendue qui se trouvait devant moi, ma tête pivotait vers la droite avant de pouvoir voir le capitaine qui semblait en discussion avec le bateau. 

Mon corps s'approchait comme par lui-même. Le mouvement cadavérique et irrévérencieux d'un homme qui traînait des pieds sur un lieu qui ne semblait point accueillant, mais pourtant si différent de la plupart des choses qui existaient en ce monde. J'aimais cet endroit par son originalité, mais je savais qu'au fond de moi, je préférai clairement la Terre ferme, la sensation de la poussière qui drapait mes pieds lorsque je marchais d'un pas allégé sans soulier. Ici, il était plutôt question d'éviter que l'alcool colle la peau de mon pied sur le bois imbibé d'alcool en tout genre, enfin principalement du rhum, les clichés d'un pauvre pirate ivrogne. J'étais plus adepte du thé et de la compagnie des dames ou des douces fleurs particulières qui pouvaient émettre la plupart du temps des vertus aphrodisiaque ou médicinales. J'aimais que mes muscles se détendent. Mes pieds se mettaient dans ses souliers.  Bordel, que la vie de pirate ne me plaisait pas. Il arrivait que nos petits sbires de pacotilles, cette plèbe de mes deux ne puisse pas prendre une putain de douche ou au moins se savonner d'une quelconque fragrance qui pourrait éviter ce nuage d'immondice olfactive. Bordel, parfois, je me demandais où l'appel de mon bâton de sourcier pouvait m'emmener auprès de femmes qui pouvaient me jouer un sale tour. Je n'aurais jamais dû devenir un pirate, ce n'était tellement pas de mon acabit. J'étais tellement plus impressionnant et intelligent que le reste de ces fichues vaches. Même les cercles étaient assez spéciale, mais au moins eux, ils prenaient des douches.  Les fils de mes mains se créèrent un instant pour former un petit oiseau. J'aurais aimé qu'il s'envole, mais je n'étais pas encore assez doué pour cela. 




Capitaine, qu'est ce qu'on fait ici? J'aimerais plutôt m'occuper de marchandises, la durée de ce voyage est d'un ennui à force. 

Mon visage se peignait d'un immense sourire charmeur. Je commençais à me mouvoir d'un mouvement de danse qui ressemblait à un pas de côté qui me rapprochait de cet homme afin de me retrouver non loin de cette femme qui me servait de capitaine un peu étrange et sans l'ombre d'avoir deux bras.  Vous imaginez, ma somptueuse personne qui avait comme capitaine une personne qui n'était même pas réellement finie. Elle avait un bras en moins, elle avait cet esthétisme imparfaite pour un membre de son équipage qui était parfait. Honte à elle, l'asymétrie avait tout de la laideur. 

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T'es qu'un con Patrick.
Fais pas l'con Philippe.

cuius post obitum maritus contemplans cecidisse fiduciam qua se fultum existimabat, anxia cogitatione, quid moliretur haerebat. Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit.
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Ceci est un essai.Essai qui a l'air de fonctionner à merveille, par ailleurs.Aussi vais-je ajouter un Lien pour voir si ça fonctionne aussiEt enfin voici une image pour en admirer le rendu